En tant que professionnel, exercer le transport VSL (véhicule sanitaire léger) exige d’avoir un agrément. Cependant, vous devez comprendre qu’il existe deux catégories en termes de véhicules sanitaires. En premier, vous avez l’ambulance, un véhicule qui peut seulement transporter une seule personne en position couchée. Alors que le VSL s’adapte à des transports à plusieurs pour des personnes en fauteuil roulant. Mais comment adopter ce service en respectant les normes ? Découvrez comment dans ce guide.
Pour faire court, le transport VSL est un moyen de déplacement sanitaire terrestre. En choisissant d’ajouter ce type de services, vous avez la possibilité de transporter 3 patients en chaise roulante sans problème. Un avantage majeur contrairement aux véhicules de type ambulance. À ce propos, le transport VSL de BVM France est l’un des acteurs majeurs dans ce domaine. Vous avez envie de découvrir de nouvelles opportunités ? C’est l’occasion de voir de plus près les caractéristiques de cette option.
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De plus, choisir le VSL garantit le transport des personnes à mobilité réduite grâce à une conception bien aménagée. Vous disposez de plusieurs équipements qui sont indispensables pour vos patients. En effet, chaque véhicule comporte :
N’oubliez pas que le transport VSL n’a rien à avoir avec un taxi conventionné. Ce type de transport est adapté spécifiquement à des déplacements sanitaires.
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Avant de se lancer dans cette carrière, vous devez avoir des diplômes et des qualifications. En effet, l’équipage d’un VSL est obligé de remplir les conditions pour être qualifié et pour avoir l’aptitude professionnelle.
En général, le transport VSL dispose d’une personne à bord du véhicule, ayant une qualification. Elle doit avoir, au moins, un diplôme d’État d’ambulancier ou un certificat de capacité d’ambulancier. D’un côté, être titulaire de l’unité d’enseignement de prévention et secours civiques est favorable avec, au moins, un niveau 1. Outre ces qualifications, avoir un diplôme d’auxiliaire médical ou de puériculture est également indispensable. Vous devez savoir qu’il est important de mettre à jour votre liste en précisant les qualifications de l’équipage. D’autant plus que cette liste doit être tenue à jour une fois par an.
Par ailleurs, l’obtention d’un permis de conduire B est obligatoire avant de penser au transport VSL. À savoir que vous devez avoir au moins 3 ans d’expérience en conduite ou de 2 ans avec un suivi apprentissage anticipé. N’oubliez pas non plus de présenter votre attestation délivrée par le préfet pour se lancer dans ce métier.
La première étape est d’assurer l’autorisation de mise en service. De plus que chaque région a un nombre limité de véhicules pour le transport VSL. En effet, tout dépend du nombre d’habitants dans votre secteur.
Toutefois, avant de penser à effectuer la demande d’agrément, il faut obtenir l’autorisation de mise en service. Pour ce faire, il faut contacter l’ARS de votre région afin de connaître cette possibilité d’agrément.